Sujet: SUJET COMMUN - Où est mon or ? Dim 29 Sep - 15:57
. Où est mon or ? .
Si tout va mal sur AutreMonde, le Dranvouglispenchir – la planète mère des dragons – tente de cacher un nouveau terrible secret (après la découverte du Continent Interdit, cela semble devenir une habitude). Depuis trois jours, une épidémie étrange sévit parmi la population des dragons. La Soif de l'Or n'est pas une maladie nouvelle et totalement inconnue mais jamais, elle s'est rependue aussi vite. Généralement, elle ne touche que deux ou trois individus tous les cinq ans. Mais aujourd'hui, les autorités dranvouglispenchiriennes comptent déjà quinze dragons fous. Heureusement, aucun dragon malade n'a été détecté sur AutreMonde, protégeant ainsi les autres espèces contre cette dangereuse folie. Mais espérer que la Planète des Sortceliers soit totalement épargnée est une grosse erreur...
AutreMonde vit une période critique et la plupart des pays se préparent à une guerre mondiale. Comme pour achever de plonger ses... dans le désespoir, une situation d'urgence vient d'être déclarée dans un quartier commerçant d'Omois. Imaginez : vous faites tranquillement vos courses, vous vous baladez gentiment dans cette grande rue commerçante, vous vaquez à vos occupations quand un hurlement rauque retentit. Si puissant, que vous le ressentez dans vos os. Alors, un énorme dragon (qui vient de quitter sa forme humaine, sinon, vous l'auriez remarqué bien avant) émerge de la foule, visiblement furieux. « Où est mon or ? Rendez-moi mon or ! » hurle-t-il. Et le massacre commence. Il avance d'un pas lourd, sans se préoccuper des faibles individus qui se trouvent sur son passage. Il attrape un homme et le secoue sans ménagement entre ses pattes énormes. Soudain, sous la pression, l'homme explose, répandent une pluie de sang et d'organes. Les gens paniquent, tentent d'échapper à cette terrible menace.
. Soif de l'or .
Cette maladie existe depuis environ 300 ans - depuis que les dragons n'ont plus le droit d'étriper de pauvres innocents pour leur voler leur or - mais aucun remède n'a encore été trouvé. Les dragons malades rejoignaient généralement les dragons fous sur le Continent Interdit, avant que Tara Duncan ne libère le pays de la Reine Rouge. Depuis, les dragons infectés étaient repérés dès l'apparition des symptômes (dents qui tombes, écailles abîmées et ternes, yeux injectés de sang, hausse de la température corporelles 30% supérieure à la température corporelle normale) puis pris en charge (ce que font les dragons de leurs compatriotes n'a jamais été révélé).
Sujet: Re: SUJET COMMUN - Où est mon or ? Ven 4 Oct - 23:02
S’associer à un fou est une tyrannie pour l’âme.
Il faisait bon en ce mois de Plucho, et l'on avait beau se dire que le temps ne faisait pas tout, que certains s'ennuyaient à Tingapour, il y avait toujours de quoi faire. En temps de guerre, il fallait savoir tromper l'ennui par tous les moyens. Il manquait à Anya une étincelle de folie pour ne pas devenir une jeune femme encore plus vide qu'elle ne l'était. Assise sur le lit de la cabine, la japonaise soupira, cherchant à se trouver des excuses pour ne pas s'être enfuie déjà depuis plusieurs heures. Cela n'aurait pas été difficile : il n'y avait pas de garde devant sa porte, elle avait déjà ouvert la porte pour voir le couloir et il n'y avait pas âme qui vive.Qu'est-ce qui la retenait ici ? Ses pensées peut-être. Elle se laissa aller sur le lit, les cheveux épars en éventail. Une Chupa-Chups à la bouche, elle ressemblait à n'importe qu'elle étudiante d'histoire des années 2010. Un livres sur l'Empire romain ouvert au chapitre sur Spartacus le gladiateurrévolté. Elle ressentait une affection et une promiscuité toute particulière pour cet homme hors-norme. Un peut un homme à la Magistra en bien moins puissant à la base et moins caché. Aucun rapport en faite.
-Ils sont frais mes saumons, ils sont frais ! Hurla une femme dans la rue.
Anya se leva, attrapa un pancakes et regretta de ne pas pouvoir lui envoyait une carapace à la Mario Kart. Non vraiment, dernièrement la nostalgie lui retournait le cerveau et chaque situation lui apportait une nouvelle idée complètement terrienne. - Avada Kadavra, pauvre moldue. Je vais te découper si tu continue d'empêcher ma réflexion.»
La jeune femme semblait dernièrement prise d'un vent de folie pur. Et voilà que cette éclat la reprannait. Qu'avait-elle fait pour mériter ça. Tuer quelques dizaines de personnes, torturer une dizaines d'autres et surtout assassiner des petits n'oiseaux tout mignons et gentils et elle avait tordu le cou de petits chatounnets. Un véritable monstre, vous en conviendrez tous.
Quelques heures plus tard, la jeune femme marchait dans le marché de Tingapour. Un peu à la Spider-man, en sautant de toi en toit. Elle s'était auto-donné une mission à haut risque. Un meurtre est une fête pour Anya. Une fête était un aparté entre deux moments d'ennuis.Et qu'est-ce qu'elle s'ennuyait dernièrement. La preuve à tous les bêtises qu'elle sortait dernièrement. Même Dimitri commençait à trouver que sa sœur était dérangé. La cible était encore loin et les couleurs du marché attirait les yeux de la jeune femme. Un mouvement attira son attention. Le peu de folie et d'euphorie qui était en Anya fut attiré loin d'elle. Le danger arrivait. Elle se mit en position de combat quand un gros bruit l'attira derrière. Bang Bang !
La jeune japonaise n'osait même pas se retournait. Elle sentait une présence qui n'augurait rien de bon. Pour personne. Il y avait tout de même un gros un avantage à l’apparition de ce monstre. Sa proie mourrait en toute discrétion. Anya eu enfin le courage de tourner la tête. Un dragon ! Son instinct fit un bond et dans le même, elle s'écarta de quelques pas. Le monstre d'ailes et d'écailles attrape un homme. Qui hurlait à en arracher les tympans. Les cris cessèrent quand son corps explosa, couvrant la jeune femme de sang et d'organes.
Elle était réveillée ! Ses yeux marrons brillaient d'un éclat morbide. Que la massacre commence et que le sang coule à flot sur Omois.
Sujet: Re: SUJET COMMUN - Où est mon or ? Dim 27 Oct - 13:22
. Si j'aurais su, j'aurais pas venu .
DATE : avant le mariage royal. LIEU : le centre-ville de Tingapour. PARTICIPANT(S) : sujet commun.
Les préparatifs du mariage avançaient rapidement mais étonnamment, bien qu'il s'agisse de son mariage, Mewyn se sentait entièrement inutile. Lassée par toutes l'activité qui régnait autour d'elle, elle décida de s'échapper pendant quelques heures. Retrouver une certaine liberté – celle qu'on lui avait retiré en l'obligeant à revenir à Selenda. Omois, en conflit avec Selenda, avait renvoyé ses Camouflés elfes, la poussant en endosser son rôle de princesse. Ce qu'elle détestait. Elle avait besoin de se retrouver, d'échapper à cette effervescence, au moins pour l'après-midi. Alors, après avoir enfilé sa tenue de Camouflée, elle avait activé son pouvoir. Ainsi invisible, elle sentait à nouveau la tranquillité l'envahir. Elle se rendit jusqu'à la Salle de Transfert et se faufila parmi un groupe en partance pour Omois. Quelques secondes plus tard, elle se trouvait au château impérial.
Le reste de sa journée fut plutôt calme. Elle avait de nouveau changé d'apparence afin d'avoir la paix, devenant une humaine brune parmi d'autres, dissimulant sa tenue de Camouflée sous une épaisse robe de sortcelière aux couleurs d'Omois. Elle se baladait tranquillement dans le quartier réputé pour ses armes de qualité lorsqu'elle entendit un rugissement qui lui arracha un frisson. Bientôt fusèrent des cris de terreur. Lâchant la pomme qu'elle tenait à la main, elle se précipita vers la source de ses cris... Et recula d'un pas en apercevant un dragon fou à quelques mètres d'elle. Elle relâcha sa magie, reprenant sa véritable apparence et faisant disparaître sa robe de sortcelière. Elle brisa la vitrine d'un magasin afin d'attraper un arc et des flèches - se promettant de venir rembourser les dégâts plus tard - et commença à avancer vers le monstre en compagnie de plusieurs soldats de l'empire. La priorité était d'évacuer le quartier, tout en retardant le dragon. Sauf qu'il attrapa un homme qui tentait de s'échapper. Armant son arc, elle tira une flèche dans la patte du reptile géant, ce qui ne sembla lui faire ni chaud-ni froid. Elle jura et balaya rapidement les environs de son regard de cristal. Lorsque l'homme explosa, elle se protéger le visage de son bras. Dégoulinante de sang, elle lâcha un nouveau concert de jurons purement elfiques. Elle lança quelques ordres à des soldats postés près d'elle mais sous son apparence d'elfe, ils ne la reconnaissaient pas. Ils l'ignorèrent donc, ce qui lui tapa franchement sur les nerfs. Son regard tomba sur un petit garçon planté en plein milieu, fixant le dragon de son regard plein de terreur, la bouche grande ouverte dans un cri silencieux. Plus rapide et plus agile que les humains, elle se précipita vers lui, le prit doucement dans ses bras et s'éloigna en slalomant parmi les débris.
Invité
Boule de cristal
HOR
Sujet: Re: SUJET COMMUN - Où est mon or ? Mer 30 Oct - 15:44
Où est mon or ? With Todo El Mundo
Ton sang n'a jamais été aussi chaud. Tu le sens brûler ton fort intérieur, comme bouillir et provoquer des sortes d'implosions dans ton organisme. Tu souffres, mais tentes d'oublier la douleur qui t’oppresse. Tu résistes au désir d'hurler, d'émettre un son qui te permette d'exprimer la terreur que tu ressens, la peur qui t’enserre le cœur. Tu souhaites plus que tout mourir, t'échapper de cette chaleur qui te donne pourtant des sueurs froides. Les jambes flageolantes, tu luttes, le souffle haletant, pour ne pas te transformer, ne pas te laisser partir dans une folie qui pourrait être destructrice. Tu sais exactement ce qui t'arrive, et tu veux tout faire pour le retarder, l'éviter. La démence d'un dragon a la capacité de tuer les frêles corps d'humains. Alors tu dois tenir. Encore, et encore. Régulièrement, ta mémoire se brouille. Tes pensées, comme ta vue, semblent se flouter. Tes oreilles sifflent. Merde, tu n'en peux plus.
Qu'est-ce qui t'as pris de venir à Omois ? Toi qui pensais que ce voyage serait amusant, un divertissement à la fois ludique et qui puisse t'apporter de nouvelles connaissances sur la culture de ce puissant pays autremondien, tu te retrouves pris d'affreuses douleurs, à te tordre sous le mal qui te fais souffrir depuis ce qui te paraît déjà des heures. Tu te dis que tu aurais mieux fait de fuir lorsque tu as entendu ça aux infos. Les crystallistes disaient que la soif de l'or se rependait actuellement sur AutreMonde. Tu savais ce dont il s'agissait, mais tu n'avais fait que t'en inquiéter. Et désormais tu regrettes, tu sens des larmes rouler sur tes joues. C'est fini, insurmontable. Il n'y a pas une seconde de plus que tu peux tenir dans cet état. Tu prends ta forme de dragon en poussant un cri.
Tu lâches un râle. La douleur est beaucoup moins forte, tu te sens beaucoup mieux, même si ton corps ne fait que chauffer d'autant plus. Tu sais au moins que, sous cette apparence, tu tiendras le coup. Mais tes pensées divaguent et se portent peu à peu, crescendo, vers l'or, l'or et encore l'or. En une dizaine de secondes, tu as cédé à la folie, comme possédé par un étrange démon. Tu es redevenu l'un de ces dragons d'antan qui tuaient pour assouvir leur soif de matière brillante.
« De l'or ! Où est-il ? Où est l'or ? »
Courant dans les rues de Tingapour, détruisant grâce à ton corps massif -mais pas trop, il faut rappeler que tu n'es qu'un enfant- de dragon aux écailles orangées légèrement ternies par le mal qui te ronge tout ce qui se dresse devant toi, tu pars en quête de tout ce qui pourrait avoir l'odeur de l'or, son apparence, sa forme. Tu veux de l'or, là, tout de suite, et tu te sens prêt à tout pour l'obtenir.
Soudain, au loin, tu aperçois un autre dragon. Prêt de lui, une foule affolée qui semble le fuir, accompagné des cris, des coups de coudes et de tout le tralala des gens désespérés. En remarquant cette énorme silhouette d'un de tes confrères, tu entends ton esprit de souffler des mots plutôt confus. Ces voix qui te parlent intérieurement te poussent à t'approcher. Cet autre dragon aux yeux -tout comme les tiens- injectés de sang te semble plus que louche, tu dois récupérer ce qu'il t'a volé :
« C'est toi qui as mon or ? »
Autour de vous, on hurle, on crie. Un cadavre explosé gise sur le sol. Miam.
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