Tresh est un garçon par habitude plutôt sympathique, qui n'aime pas se laisser marcher dessus. Il a de grandes ambitions et il ne crains pas de le crier sur tous les toits. Il trouve les enfants humains assez immatures, c'est pourquoi il fréquente en général des gens un peu plus âgés. Depuis son accident, Tresh est régulièrement pris d'étranges léthargies. Des médecins se sont penchés sur son cas mais aucun n'a obtenu de résultats vraiment concluants.

Caractère : Sympathique - Calme - Intelligent - Meneur - Blagueur - Dragueur - Généreux - Peut parfois s'avérer hautain - Bosseur quand il le faut, mais aime prendre du bon temps et flâner par moments - A parfois des émotions un peu exagérées, en particulier la peur - A un don particulier pour jouer la comédie et mentir bien qu'il répugne à le faire

Jambo, peuple d'AutreMonde! Mon nom est Tresh(umarichotrachivu) et j'appartiens à la race des dragons. La notion d'âge est très abstraite dans notre univers mais sachez que j'ai 19 ans. Physiquement, j'ai l'air d'avoir 15 ans, ce qui est généralement un avantage. Enfin, plus ou moins... Je suis né à (ville), dans le beau pays de blablabla, sur cette belle planète qu'est (la Terre/AutreMonde), le (date de naissance autremondienne). Comme je suis du genre sérieux, je suis actuellement Namého ça te regarde ?.. D'ailleurs, niveau sexualité, je suis très ouvert d'esprit, puisque je suis trop jeune pour être sexuellement déterminé. Sinon, je suis un sortcelier et j'effectue le métier de premier sortcelier. Ma maîtrise magique s'élève à 450/2000 [maximum 500/2000]. Sinon, je suis officiellement le sosie de Alexander Gould. Cooool, hein?!

Je m'appelle Bizarr'sisters, j'ai 15 y.o et je vis (votre pays). Je suis disponible Toujours présent, j'ai connu le forum C'est lui qui m'a trouvé et je trouve que Il est pourri, à chier, d'ailleurs je m'en vais

Tu te souviens. Tu te souviens de ces lettres dorées qui ornaient les livres de contes que tu lisais. Tu te souviens des chansons que ta mère fredonnait, le soir, dans ton lit, glorifiant la vie d'homme que tu ne connaissais que de nom. Tu te souviens de cette vie que tu as menée pendant près de 18 ans au Tatumalenchivar. Les rues animées de la capitale, les visages joyeux, les gueules joyeuses... Tu y étais heureux. Non, ta vie n'étais pas toujours un long fleuve tranquille comme pouvait l'être celle des autres dragonnets de ton âge, mais peu importait. Tu avais toute la vie devant toi et des milliers de rêves à réaliser. Mais il a fallut que soudain, tout ton petit monde s'écroule.

Tes parents. Tes parents que tu aimais tant. Ceux-ci qui ont coupé sans le savoir court à tous ces espoirs, ces envies de grandeur que tu avais pu avoir. Toi qui rêvait d'un jour devenir un important politicien... Juste comme ça, comme en claquant du doigt. Vivre sur AutreMonde ! Mais quelle idée ils avaient eu ! Parmi tous les instituts magique dans lesquels ils auraient pu lt'envoyer, il avait fallu qu'ils choisissent Omois et sa capitale Tingapour, dans lequel tu étais supposé devenir premier sortcelier. Tu te souvenais les avoir supplié, avoir prié chaque jour pour ne pas partir à la fin de cet été dont tu espérais ne voir jamais la fin. Et tu étais parti, un jour que tu avais préféré oublier. Un jour où tu avais croisé après ton arrivée par la porte de transfert. Un homme t'avais accueilli, l'air amusé de ta vue. Cet inconnu t'avait conduit quelque part, tu ne savais pas exactement où. Une pièce, un studio peut-être. Enfin... les souvenirs étaient trop flous. Peu importe. Il avait parlé. Des choses incompréhensibles. Parfois, parmi ces fredonnements, tu avais cru entendre des mots connus... Du Latin Terrien, étrange. Tu avais voulu crier, bouger, hurler. Tu aurais voulu le frapper, lui montrer ce dont tu étais capable. Mais tu n'avais rien fait. Tu étais comme paralysé. Était-ce un sort qu'il avait lancé ou simplement ton esprit qui perdait toute capacité de réaction ? Tu n'en savais rien. Puis tu t'étais endormi.

A ton réveil, on se pressait à ton chevet. « Il se réveille ! », qu'ils s’exclamaient. On t'avait retrouvé dans cette pièce. L'inconnu était mort à tes côtés. Et tu avais pleuré des jours durant, sans prononcer le moindre mot. Tu ne comprenais rien et tu ne voulais rien comprendre. Tu ne savais plus ce que tu avais vu dans cette pièce. Tu ne savais plus ce qui avait pu te faire perdre tout souvenir de cet homme et de son acte. Tu ne savais rien... Tu ne cherchais pas à comprendre. Non. Un fou, un arriéré. On avait voulu te faire du mal pour te faire du mal, peut-être. Ta famille n'avait pas plus de secrets que les autres. Un père médecin, une mère enseignante... Tu baignais dans une complète banalité. Alors tu ne pouvais que te trouver devant un cas d'une étrange violence gratuite -étrange, oui, car il ne t'avait ni frappé ni ensorcelé.

Tes parents sont un temps venu te voir, prendre de tes nouvelles. Mais rapidement, le travail les a rattrapé. « Ils sont trop occupé », te dit-on. Tu en a pleuré, oui. Tu en as souffert. Mais la solitude a fini par être oubliée. Des amis, des ennemis... Tu as progressivement trouvé ta place, même si tu as tout fait pour arriver discrètement. Même ce vieux Lach a finalement décidé-après moult journées passées à ce faire charrier par le très-haut-mage- de te prendre comme apprenti. Tout semble te sourire désormais. Ne te reste plus qu'à tendre la main pour saisir ta chance.